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Portrait d'Antoine Jouhet, avocat associé à Lyon

06 novembre 2018

Depuis début octobre, Fidal a lancé une campagne de recrutement nationale.

Vous êtes avocat en droit social et mû par une vision entrepreneuriale de votre métier?

C'est le cas d'Antoine Jouhet, avocat associé à Lyon qui partage avec nous sa passion et son expérience.

Pourquoi avoir choisi ce métier ? 
Une mère avocate, la passion du débat, des rencontres faites aux moments opportuns m’ont conduit très tôt (job d’été, stages facultatifs ou obligatoires dans le cadre de ma formation), à effectuer des stages dans des cabinets d’avocats différents par leur taille, leur mode d’exercice, leurs clients et leurs domaines d’intervention. J’ai ainsi été confronté à diverses façons d’exercer la profession d’avocat mais toujours auprès de professionnels passionnés désireux de transmettre et m’encourageant à poursuivre dans cette voie.

Quel est votre parcours ?
J’ai suivi une formation universitaire de droit privé général à Paris, que j’ai complétée par une année en Ecole de Commerce, après avoir passé l’examen pour entrer à l’Ecole du Barreau de Paris. Dans ce cadre j’ai effectué deux stages, l’un généraliste, l’autre en droit social, dans des cabinets anglo-saxons. Embauché à la fin de mon stage final, j’ai ainsi débuté en tant que collaborateur au sein de l’équipe de droit social d’un cabinet américain, puis poursuivi dans un cabinet français. Au moment où mes réflexions personnelles me conduisaient à envisager un départ de Paris pour la région lyonnaise, Fidal m’a proposé de rejoindre en tant qu’associé le bureau de Lyon, où j’exerce depuis maintenant 3 ans.
                                                                                                                 
Quels sont vos principaux domaines d’activités ? 
Le traitement social des réorganisations et restructurations (fusions, acquisitions, transfert d’entreprise), la gestion des relations individuelles (embauche, évolution professionnelle, rupture) et collectives de travail (négociations collectives, relations avec les représentants du personnel), la mobilité internationale de salariés, souvent en équipe en étroite liaison avec les autres départements du cabinet sur des dossiers pluridisciplinaires (droit des affaires, contentieux, droit fiscal, droit économique). Mon activité est essentiellement une activité de conseil mais j’interviens également en contentieux lorsqu’il n’est pas possible de l’éviter !

Qui sont vos clients ?
Des entreprises de toutes tailles, depuis l’employeur individuel jusqu’aux groupes multinationaux, en passant par les ETI, PME et filiales de groupes étrangers.

Ce que Fidal a que les autres n’ont pas ?
Un réseau, l’Excellence en Proximité : le fait de proposer des expertises pluridisciplinaires partout en France à moins deux heures des sites de nos clients.

Qu’est-ce qui vous passionne le plus dans votre métier ?
Le fait de voir que les préconisations données par nos équipes se traduisent concrètement dans la réalité économique de nos clients.

Quelle est votre plus grande fierté professionnelle ?
Le sentiment de donner des conseils réalistes et pragmatiques à des clients fidèles en prenant en compte le temps long dans la résolution de leurs problématiques ponctuelles.

Quelle est selon vous la principale qualité pour intégrer Fidal ?
La motivation. Le champs des possibles offerts par le cabinet est immense.

Quel est votre meilleur souvenir professionnel ?
Dur de choisir… deux exemples parmi d’autres à venir !
Ma participation aux deux éditions du Juridikthon organisé en partenariat avec l’ANACT en 2017 et 2018. Le Juridikthon est une « OJNI » (Objet Juridique Non Identifié). Il s’agit d’un concours d’étudiants travaillant sur une journée des cas réels d’entreprises volontaires pour proposer des solutions expérimentales innovantes et sécurisées. Les étudiants sont encadrés par des avocats, des conseils en organisation/ergonomes pour travailler sur ces cas concrets et formuler des propositions réalistes. Les étudiants ont eu l’honneur d’être reçus par Madame la Ministre au Ministère du Travail dans la salle ou furent signés les accords de Grenelle.
Ou encore la mise en œuvre et la participation à un Comité d’Entreprise d’une Société Européenne pour un grand groupe. Les entreprises ayant mis en place ce type d’organe de représentation du personnel sont rares et il fallait faire preuve de créativité. Avec les représentants des différents pays et les traducteurs, les différences culturelles et juridiques j’avais l’impression d’être à une Réunion de l’ONU ou de l’UNESCO.

Si vous deviez traduire les valeurs de Fidal en 3 mots, ce serait ?
Les 3 « E » : Envie, Exemplarité, Excellence

Où vous voyez-vous dans 5 ans ?
Carpe diem

Si vous n’étiez pas avocat, vous seriez ?
Comédien

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