ESG/RSE, pour une démarche sincère et créatrice de valeur n’oubliez pas les collaborateurs de vos entreprises.
ESG/RSE, pour une démarche sincère et créatrice de valeur n’oubliez pas les collaborateurs de vos entreprises.
Une démarche à impact implique qu’elle soit pensée et construite avec vos collaborateurs mais également pour eux.
Inscrire son activité et son développement dans une démarche à impact nécessite de la sincérité dans l’action. Seul, le dirigeant d’une entreprise ne peut rien faire, il doit pouvoir embarquer ses salariés dans l’aventure et s’appuyer sur les compétences qu’ils peuvent déployer au profit de cet objectif.
Comme toutes les autres parties prenantes, les collaborateurs de l’Entreprise auront besoin de comprendre les finalités du projet et d’adhérer aux objectifs de la démarche.
Une démarche à impact part d’un constat simple : chacun, à son échelle, peut œuvrer pour que son activité soit plus respectueuse de l’environnement, qu’il soit naturel, sociétal ou humain.
Qui mieux que vos salariés connaissent vos processus de production de valeur ? En partant de leurs expériences et connaissances ces collaborateurs doivent être invités à identifier les axes d’amélioration envisageables.
Il est donc indispensable de laisser la parole aux collaborateurs dans une logique de création concertée de solutions que ce soit dans le cadre du dialogue social classique ou d’ateliers collaboratifs ou d’expression.
Mais une démarche à impact ne se limite pas à la participation active des collaborateurs à son déploiement.
S’interroger et agir sur l’impact des activités de l’entreprise c’est également s’interroger sur la « durabilité » de la relation de travail salariée : l’impact social des activités économiques ne doit pas être le parent pauvre des démarches ESG/RSE.
Au-delà des notions de bien-être au travail, de qualité de vie du ou au travail, de santé sécurité, la responsabilité du chef d’entreprise porte également sur le maintien et le développement des compétences de ses collaborateurs pour leur permettre d’appréhender au mieux les mutations inévitables de leurs activités.
Mais ne nous y trompons pas cette responsabilité doit être partagée ! Chaque collaborateur doit disposer des outils lui permettant de comprendre les enjeux de son activité, de la nécessité de se placer dans une démarche permanente d’actualisation de ses connaissances. Une fois ces outils en main, c’est à lui d’agir.
En définitive la démarche à impact positif passe par la responsabilisation des parties prenantes au centre desquelles figurent les collaborateurs de l’entreprise.